Le but du message est de répondre à la question qui nous taraude tous lorqu'on est en face d'un problème de physique et qu'on a une idée (ou pas) du résultat à trouver. Il va donc falloir le "démontrer". Pour cela il ne faut pas considérer la logique traditionelle vrai/faux(ou à la rigueur indiscible). Il y a en fait tout un pannel de possiblilités, répertoriées sur l'échelle ouverte de Descartes(qui l'a déouverte de façon tout à fait indépendante 15 ans après Snell...):
|10 : En toute théorie : Cas idéal. En fait se construit toujours au contitionnel, le cas de figure ne se présentant jamais comme on l'aurait voulu.
|8 : En première approximation : Changer quelques données du problème pour se ramener au cas précédent.
|5 : J'ai parfaitement le droit : Dit avec suffisament d'assurance et de détermination.
|3 : Expérimentalement : Délicat, surtout si on doit faire l'experience soi même, il y a de fortes chances qu'elle ne montre rien du tout.
|2 : Qualitativement : faire des phrases suffisament longues pour espérer que le correcteur se lasse (d'ou l'intéret d'écrire mal) et mette les points quand même
|0 : C'est trivial et évident : On sait jamais, c'est mieux que rien
|-1 :42 : Qui sait, le correcteur/colleur a peut être lu Douglas Adams?
|-5 : Le résultat est-il homogène? : Répondre tout de suite non, puis tenter de rattraper le coup avec une des démonstrations précédentes.
|-10 C'est completement faux/C'est pas acceptable : no comment.
Remarques, deux remarques :
1/ Je rassure sylvain, je ne considère pas la physique comme une science abatardie par des approximations incotrolées, à l'opposé des mathématiques, absolues, pures et transcendantes, mais on peut bien rire un peu...
2/Bon week end a tous!